BNP Paribas Real Estate lance Property Data Insight (PDI)

Le secteur de l’immobilier a fortement évolué au cours de ces dernières années. Plus que jamais, le « Human Estate » place l’individu, sans qui l’immeuble n’a pas de raison d’être, au cœur de la réflexion. La technologie est aujourd’hui de plus en plus utilisée à bon escient au profit de l’expérience offerte aux utilisateurs et aux stratégies d’exploitation et de gestion des actifs. A l’instar de nombreux secteurs, la révolution digitale pousse les métiers du property management et de la gestion d’immeuble à adopter de nouveaux usages et réflexes.

La donnée est ainsi devenue un incontournable pour une meilleure connaissance des usages du bâtiment et des attentes des utilisateurs. C’est également un symbole de la transformation du métier de Property Manager au profit de plus de transparence, de fiabilité et de conseil. En effet, une meilleure compréhension de l’immeuble, de son usage et de son environnement permet d’en tirer des analyses plus pertinentes. La visualisation des données contribue par ailleurs à insuffler une culture « data » aux équipes opérationnelles.

Entre les expertises techniques, juridiques et comptables, mais aussi et surtout un rôle de conseil, très largement valorisé tout au long de la crise sanitaire, les Property Managers assument une mission clé dans la chaîne de valeur immobilière. 

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Ainsi, Property Data Insight (PDI), outil de data visualisation en temps réel et de benchmarking, est né de plusieurs constats : les innombrables données immobilières auxquelles le PM peut avoir accès, l’influence de ces informations sur la conduite des missions du PM au quotidien, ainsi que la volonté des clients investisseurs de mieux connaitre leurs locataires. PDI permet de fournir un socle structurant pour l’organisation de la Data, et donne aux équipes de gestion un outil indispensable à l’optimisation de la qualité de pilotage et de service attendu par nos clients.

Plus concrètement, le concept de PDI est influencé par une notion d’Open Property Management. Une architecture ouverte qui s’appuie aussi bien sur des données produites en interne, qu’en externe. Celles-ci sont de différentes natures : géographiques, liées à l’immeuble et à son fonctionnement (occupation, données de confort, services, consommation électrique…), ou bien encore liées aux occupants et à leurs habitudes ou bien encore liées aux préférences des occupants et leur satisfaction.

PDI incarne avant tout une volonté de transparence et de fiabilité, en mettant à disposition des clients et des collaborateurs les indicateurs les plus importants de l’activité du property manager et de l’immeuble, en temps quasi réel. 

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PDI permet de renforcer l’offre du PM vers le métier de conseil grâce à davantage de transparence, ainsi qu’un gain de temps considérable au bénéfice de l’accompagnement au service du client et donc de fait de l’humain.

Au-delà d’une conséquente base de données, l’outil PDI se dessine autour de cinq grandes fonctionnalités : l’état locatif, la géostatistique (pour analyser les différences de données sur les bâtiments dans un même environnement), l’outil de comparaison des charges du bâtiment, la relation avec les locataires, incluant la synthèse des enquêtes de satisfaction et pour finir, un « horizon stratégique » pour ne manquer aucun moments clés de l’activité sur l’immeuble.

Les crises récentes ont plus que jamais mis en lumière l'importance et la centralité du métier de Property Manager, autant dans la verticalité de la chaîne de commandement immobilière, entre le FM et l'AM, qu'en horizontalité entre le bailleur et les preneurs à bail. « Si nous sommes encore mieux préparés à faire face à d'éventuelles autres vagues ou crises à venir, il nous faudra évoluer collectivement dans notre industrie sur plusieurs domaines. Je pense notamment à la digitalisation, la mutualisation et la collaboration pour optimiser à la fois notre capacité de réaction aux crises, et la réduction de notre empreinte environnementale. C'est aussi le sens d'un outil comme PDI », vient conclure Csongor Csukás.